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Revue de presse

Interview du SJBM par l'UNPF, première partie

Pour la rédaction de son livre blanc, l'UNPF a interviewé le SJBM. Nous vous proposons de retrouver ici le debut de cette interview. Le texte complet est réservé aux adhérents du SJBM

UNPF: **Quelles conclusions tirez-vous de l’ouverture du capital des laboratoires d’analyses médicales ?**

 

SJBM:

1.  Le capital ne peut être que fermé ou ouvert, il n’y a pas de juste milieu

 

Avec le recul de ces quinze dernières années, le constat est limpide, et nous espérons que l’Histoire récente de la Biologie Médicale Française serve d’exemple aux autres spécialités médicales (radiologues, anatomo-pathologistes, chirurgiens, généralistes…) et pharmaceutiques (pharmaciens d’officine). Un exemple éclairant par son constat amer, non pas pour les anciens dont le premier mouvement est malheureusement de ne retenir que l’afflux de capitaux, mais pour ceux qui sont les forces vives de nos professions: les jeunes.

Le premier trait marquant de ce constat est le suivant: le capital est soit fermé, soit ouvert, il n’existe pas de juste milieu (telles que les règles des 25% ou des moins de 50%). Dès lors que le capital jusqu’ici protégé de nos outils de travail s’ouvre, toute l’ingéniérie financière se met au service des capitaux entrants afin de trouver les subterfuges (droit extra-national, démembrement de parts sociales, actions de préférence…) afin d’emporter toutes les barrières à leur entrée sous le flot impétueux de la puissance des montants injectés.

Le second constat était prévisible

  • Créé le .